Henri RIERA

Papi,

Je ne t’ai jamais appelé ainsi, sans doute par pudeur, jamais par manque d’envie ni d’amour.
Quand je suis entré dans ta famille, à l’âge de 5 ans, tu m’as immédiatement considéré comme ton petit-fils. Cela ne se voyait pas toujours au premier regard ; il faut dire que tu m’impressionnais.
Avec le temps pourtant, j’ai découvert la tendresse cachée derrière ce visage fermé.
Aujourd’hui, vingt ans plus tard, je regrette de ne pas t’avoir appelé papi, car tu occupais une place importante dans mon cœur.

Je t’aime, papi.

Henri,
Je sais que je suis entrée dans la famille il y a peu, mais vous avez toujours eu une place particulière dans mon cœur. Votre façon de parler, votre humour, les valeurs que vous transmettiez m’ont beaucoup touchée et admirée. Vous avez construit avec Colette une famille absolument formidable. Je suis vraiment heureuse de vous avoir rencontré.
C’est le cœur lourd que je vous écris ce message ce soir. Où que vous soyez, sachez que moi, je garderai toujours le souvenir d’une belle rencontre. Je vous embrasse fort.
Lisa

Henri,
Je sais que je suis entrée dans la famille il y a peu, mais vous avez toujours eu une place particulière dans mon cœur. Votre façon de parler, votre humour, les valeurs que vous transmettiez m’ont beaucoup touchée et admirée. Vous avez construit avec Colette une famille absolument formidable. Je suis vraiment heureuse de vous avoir rencontré.
C’est le cœur lourd que je vous écris ce message ce soir. Où que vous soyez, sachez que moi, je garderai toujours le souvenir d’une belle rencontre. Je vous embrasse fort.
Lisa

Henri,
Je sais que je suis entrée dans la famille il y a peu, mais vous avez toujours eu une place particulière dans mon cœur. Votre façon de parler, votre humour, les valeurs que vous transmettiez m’ont beaucoup touchée et admirée. Vous avez construit avec Colette une famille absolument formidable. Je suis vraiment heureuse de vous avoir rencontré.
C’est le cœur lourd que je vous écris ce message ce soir. Où que vous soyez, sachez que moi, je garderai toujours le souvenir d’une belle rencontre. Je vous embrasse fort.
Lisa

Je suis de tout cœur avec vous dans cette douloureuse épreuve. Ma famille se joint à moi pour vous adresser nos sincères condoléances. Raymond Gregory Michèle

Camille et Benjamin se joignent à moi. Ils pensent très fort à vous et sont de tout cœur avec vous.
Toutes nos condoléances.
Sabine, Camille et Benjamin

Tonton,
Te voilà parti au pays des anges. Que de souvenirs je vais garder de toi. Le nombre de fois où je suis venue à Roquette chez ma tatie, mon tonton et mes cousins. Tu m'as toujours bien accueillie.
Je me souviens de pleins de moments. Tu te rappelles quand, avec ton frère Joël, vous taquiniez tatie et que je montais sur ses genoux, pour la défendre et je vous disais : "C'est ma tatie"...J'en aurai d'autres encore. De là-haut, ça doit te faire sourire.
Je ne pourrai être présente pour tes obsèques, l'éloignement, mais sache que je serai là, par la pensée, pour t'accompagner dans ce dernier voyage.
Tatie Colette, Laurence et Jean-Luc, Brice, Pauline et Jérôme, et tous mes petits cousins, je vous adresse mes sincères condoléances. Je suis de tout cœur auprès de vous en ce douloureux moment. Je pense très fort à vous.

Sabine